5-12). Aussi lisons-nous ces paroles solennelles: «Et les laissant, il s’en alla». Dans ces opinions diverses, toutes fondées qu’elles puissent paraître, il n’y avait ni foi, ni intelligence spirituelle. Paul a été chargé de révéler tout ce qui concerne l’Église.Le catholicisme a confondu ce que le Seigneur dit à Pierre au v. 18, avec ce qu’il dit au v. 19. Deux choses caractérisaient les disciples: ils.Plein de patience et de bonté, le Seigneur leur explique qu’il ne leur parlait pas du levain de pain; ils comprennent qu’il les met en garde contre la doctrine des pharisiens et des sadducéens. Préoccupés de leur oubli plus que de la nécessité d’être en garde contre l’influence des doctrines pharisaïques et sadducéennes, le Seigneur leur dit: «Pourquoi raisonnez-vous en vous-mêmes, gens de petite foi...? 2: Il leur répondit: " Le soir venu, vous dites: Il fera beau, car le ciel est rouge; 3: Mais après eux, de leur temps déjà, des ouvriers moins vigilants introduisirent dans l’Assemblée des personnes qui, n’ayant pas la vie de Dieu, n’étaient pas des pierres vivantes, mais qui, baptisées du baptême chrétien, faisaient partie de la maison de Dieu sur la terre. Car si Christ possède une assemblée, il possède aussi la royauté sur son peuple terrestre et sur tout l’univers. 13-20).
Nous sommes dans un temps qui correspond, pour la chrétienté, à celui dans lequel Israël se trouvait quand Jésus était près de quitter ce peuple. La Notion primitive d'Église, d'après l'Évangile selou Matthieu, chapitre 16, versets 18 et 19.. [Georges Gander] Please re-enter recipient e-mail address(es).You may send this item to up to five recipients.The name field is required.
Lorsque Dieu disait à Achaz de lui demander un signe (Ésaïe 7:10-12), le roi s’y refusa, feignant cette confiance qui ne permet pas à un homme pieux de tenter Dieu; pourtant nous connaissons l’impiété de ce souverain. Quelle distance entre les pensées de Pierre et celles de Jésus! Le v. 18 se rapporte à l’Église, c’est Christ qui la bâtit lui-même, et si Pierre y a une part, c’est comme une pierre vivante. Read verse in Ostervald (French) Dans tous les cas, c’est Pierre qui agit, en vertu de l’autorité que le Seigneur lui a donnée pour ouvrir les portes du royaume des cieux et pour l’administrer. En effet, la mort, salaire du péché, a été subie par Christ, et Satan demeure sans force contre ce qui est bâti sur ce roc éternel de vie.Dans la réponse de Jésus à Pierre, nous voyons: 1° ce que chaque croyant devient, par la foi au Fils de Dieu, une.La plupart de nos lecteurs savent que l’Église est en ruine, à cause de tout le mal qui s’y est introduit dans le cours des siècles; ils peuvent se demander comment cette Église, que Christ bâtit, s’est corrompue, d’après les vérités dont nous venons de parler en rapport avec le verset 18 de notre chapitre.Il n’est que trop vrai que nous sommes aujourd’hui au sein de l’Église ruinée, à cause de l’infidélité de ceux qui en ont fait et en font partie; mais ce qui est ruiné n’est pas ce que Christ bâtit. Ceux qui font ainsi jouiront déjà ici-bas des choses éternelles, tandis que ceux qui veulent épargner leur vie en lui accordant ses convoitises, la perdront pour l’éternité.
La haine des principaux du peuple à l’égard de Jésus irait jusque-là, et du côté de Dieu, cette mort était nécessaire pour l’accomplissement de toutes les glorieuses vérités annoncées à Pierre dans les v. 18 et 19. Jésus lui dit: «Tu es bienheureux, Simon Barjonas.Les Juifs rejetaient le Christ, preuve que Dieu ne pouvait rien édifier sur l’homme selon la chair; le Fils du Dieu vivant se présente donc comme le fondement sur lequel il bâtira ce qui remplacera Israël et ce qui demeurera éternellement, savoir son Assemblée. Dieu veuille en pénétrer tout à nouveau le cœur de tout lecteur qui désirerait le monde ou les choses qui sont dans le monde, ne penserait qu’à la satisfaction de la vie présente et négligerait ce qui se rapporte à son âme pour l’éternité; car chacun a commencé l’éternité en entrant dans ce monde; le temps présent en est une bien courte phase qui passe comme une ombre, mais dans laquelle se décide de quel côté chacun se trouvera définitivement après la vie présente.Mais nous n’aurons pas toujours à suivre un Christ humilié et rejeté. Elle a fait de Pierre le représentant de Christ comme bâtisseur de l’Église et lui donne comme successeurs les papes, tandis que le Seigneur n’enjoint nullement à Pierre de bâtir l’Église, et ne lui annonce aucun héritier dans sa fonction. 13), le levain représente une doctrine corruptrice. ni des sept pains des quatre mille hommes, et combien de corbeilles vous en recueillîtes?» Comment pouvaient-ils avoir la moindre inquiétude, après avoir été témoins de tels actes de puissance et de bonté, et quand ils avaient toujours avec eux celui qui en était l’auteur? Matthieu chapitre 16 ... Elie; les autres, Jérémie ou l'un des prophètes.» 15 «Et d'après vous, qui suis-je?» leur dit-il. Please enter your name.The E-mail message field is required. ThéoTeX. On avait estimé très haut Jean le Baptiseur; on avait voulu, pour un temps, se réjouir à sa lumière (Jean 5:35; voir aussi Matthieu 21:26). Trois mille personnes environ reçoivent ces paroles et entrent dans le royaume; au chapitre 4, le nombre se monte à environ cinq mille. Vous savez discerner l'aspect du ciel et vous ne pouvez pas discerner les signes des temps. — Quittant les rives du lac de Génésareth, le Seigneur se dirige vers Césarée de Philippe, tout au nord de la Palestine, et là, il interroge les disciples en ces termes: «Qui disent les hommes que je suis, moi, le fils de l’homme? Elle est comparée à une grande maison dans laquelle se trouvent des vases à honneur et des vases à déshonneur. En attendant sa domination glorieuse et universelle, le royaume s’établit sous une forme particulière. Lui vient dans ce monde en disant: «Je viens... pour faire, ô Dieu, ta volonté», dans laquelle la mort était comprise, base sur laquelle Dieu pouvait accomplir tous ses conseils, tandis que Pierre dit: «Dieu t’en préserve!» Pour être justes, nos pensées doivent suivre celles de Dieu; autrement nous prenons en considération celles de notre cœur qui peuvent être sincères, paraître bonnes, mais s’opposent aux choses de Dieu, puisqu’elles se rapportent à ce qui convient à l’homme.Jésus montre ensuite à ses disciples que la mort serait non seulement sa part, mais aussi celle de tous ceux qui voudraient participer à la gloire avec lui.