Le Sénat a depuis réécrit le texte en question et sorti la mesure de la loi sur la liberté de la presse. La proposition de loi « Sécurité Globale » doit être votée en première lecture ce mardi 24 novembre. Sur cette période, la couverture relative à la loi « Sécurité globale » a représenté 14 minutes, soit un peu plus de 6% des journaux au total. par Frédéric Barreyre, Xavier Demagny publié le 28 novembre 2020 à 16h05. La proposition de loi dite de « Sécurité globale » relative au renforcement de la protection des forces de l’ordre et à la mise en place d’outils de surveillance, inquiète la société civile sur le sort qu’elle réserve aux libertés publiques, et notamment la liberté de la presse, au regard de la rédaction de l’article 24, qui agite le Parlement et l’exécutif. C'est la mesure la plus polémique. La « Proposition de loi relative à la sécurité globale » a été adoptée par le Parlement ce jeudi 15 avril. Il est pourtant le détonateur de l’emballement qui va suivre, des commentaires malveillants… Il a une responsabilité et c’est ce que vient reconnaître l’article 24 de la proposition de loi. Elle avait engendré des protestations ces derniers mois, violemment réprimées chaque samedi dans toute la France. Manifestation contre l’article 24 sur la loi « sécurité globale », le 21 novembre, à Paris. Après le passage au Sénat, l'article 24 ne modifie plus la loi de 1881 sur la liberté de la presse et donc le droit d'informer. Cependant, l’annonce de la loi n’a pas été reçue comme prévu surtout pour un des articles. La proposition de loi sur la «sécurité globale» arrive ce mardi dans l’Hémicycle. L’article 24 de cette loi qui pénalisait la diffusion malveillante d’images de forces de l’ordre avait été au coeur des débats en novembre et très critiqué pour son atteinte à la liberté d’informer. Le fait divers fait donc terriblement écho avec l’article 24 de la loi de « sécurité globale » qui prévoit précisément de restreindre fortement le droit à filmer les forces de l’ordre. STÉPHANE DE SAKUTIN / AFP. Surveillance de masse au sol. Mais que dit concrètement ce texte qui fait tant parler ? Examiné ce vendredi à l'Assemblée nationale, le controversé article 24 de la proposition de loi "sécurité globale" n'en finit pas de faire polémique. La proposition de loi "sécurité globale" définitivement adoptée. Pourquoi c'est important La loi Sécurité globale mise au ... s’est associé aux journalistes pour demander "le retrait total" de cette loi de "contrôle social". Pour lui, cet article 24, «c'est une limitation du droit des citoyens et de la liberté de la presse que vous inscrirez dans la loi». Que prévoit l’article 24 ? L'article 24 de la loi Sécurité globale, à l'origine d'une crise politique au gouvernement et dans la majorité qui s'est engagée à le réécrire dans sa totalité, ne sera pas recyclé dans le projet de loi contre les séparatismes, a indiqué Gérald Darmanin dans le Journal du Dimanche. La loi Sécurité Globale c’est quoi ? Article 24 Loi Sécurité Globale : pourquoi fait-il débat ? En cause : l’article 24 de la loi qui souhaite limiter la diffusion de certaines images. Loi sécurité globale : six questions sur le polémique article 24 Au sein du texte, l'article 24, qui prévoit d'encadrer la diffusion d'images des forces de l'ordre, est particulièrement décrié. Loi «sécurité globale» : Jean Castex saisira le Conseil constitutionnel sur l'article 24. Loi sur la "Sécurité globale" : l'article 24 controversé va être amendé, annonce le gouvernement . Cet article a été réécrit par le Sénat. Les députés ont donné leur feu vert, jeudi midi, à l'adoption définitive de la proposition de loi "sécurité globale" et à son controversé article 24. Cet article crée un nouveau délit. C’est cette approche que la loi « sécurité globale » tente de renforcer, en donnant à la police trois moyens technologiques nouveaux pour s’y enfoncer davantage. Soutenu par le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, ce … Le 21 novembre 2020 l’Assemblée nationale adopte la proposition de loi relative à la sécurité globale. Un temps en réalité concentré sur quelques jours : on ne recense par exemple aucun traitement les 22, 23, 24 et 25 novembre – soit les quatre jours ayant suivi la première journée de mobilisation nationale contre cette loi. La proposition de loi relative à la sécurité globale a pour but de renforcer la sécurité des français.es. Le Club de la Presse Occitanie appelle à manifester ce jeudi 26 novembre à Toulouse pour le retrait de la loi Sécurité Globale, votée en première lecture par l’assemblée nationale ce mardi 24 novembre. Loi sur la « sécurité globale » : l'Assemblée vote largement en faveur du texte . La proposition de loi controversée sur la "sécurité globale", débattue à partir de mardi à l'Assemblée nationale, comporte un article sur l'encadrement de la diffusion d'images de policiers. L'article 24 du projet de loi de sécurité globale prévoyait au départ de pénaliser potentiellement la diffusion d'images de policiers identifiables en action. Christophe Castaner a annoncé, ce lundi 30 novembre 2020, la réécriture de l’article 24 de la loi « Sécurité globale » qui concerne la diffusion d’images de forces de l’ordre. L’article 24 a été réécrit mais pénalise toujours la diffusion malveillante de l'image des policiers. Le Parlement a adopté ce jeudi la proposition de loi sur la « sécurité globale ». Des milliers de Français sont descendus dans la rue dans plusieurs villes françaises samedi après l'adoption, la veille, de l'article 24 du projet de loi sur la "sécurité globale". L’article 24 modifie la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Controversé, l’article 24 a déclenché plusieurs manifestations et pétitions. Une loi de 2016 a autorisé les policiers et les gendarmes à filmer leurs interventions par des « caméra mobiles ». Proposition de loi pour une sécurité globale préservant les libertés ... L’article 24, dont la rédaction avait été précisée par le gouvernement, modifiait initialement la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse pour créer un délit de diffusion malveillante d'images des forces de l'ordre. Loi "sécurité globale" : "L'article 24 est devenu indéfendable", juge le directeur du Monde.