Le don de cet apôtre sera, entre autres, de rapprocher les frères, de réparer ce qui a été gâté.
Jean l'apôtre était un des douze apôtres. Parmi elles, la moitié sont issues des Psaumes, quatre d’Ésaïe, deux de Zacharie et une de l’Exode. Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.
Celle-ci, furieuse, tenta de le lapider, mais toutes les pierres frappèrent la statue qui fut mise en pièces, puis les pierres se retournèrent contre ceux qui continuaient à les lancer.
Jean, disciple du Seigneur qui deviendra apôtre, venait de Galilée ; il était le fils d'un pécheur.Toutefois ces deux hommes se ressemblent beaucoup : l'un et l'autre ont passé leur vie à présenter aux hommes le Seigneur qu'ils aimaient et ont toujours cherché à s'effacer derrière leur Maître.Jean le Baptiseur est venu « pour rendre témoignage de la lumière, afin que tous crussent par Lui » (Jean 1 : 7). Ils peuvent s’appréhender successivement.En tant que juif et témoin oculaire, Jean avait beaucoup à dire sur le rejet de Christ par le judaïsme. Les prêtres du temple d'.demandèrent à ce dernier de les débarrasser de Jean, qui commencait à faire des conversions. Nous vivons actuellement une époque semblable où auteurs, commentateurs, intellectuels et réalisateurs mettent en doute l’authenticité même de Christ ou de ce qu’on appelle le christianisme. Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est point en nous. Les Juifs envoient des sacrificateurs et des lévites lui demander : « Toi, qui es-tu ? Ils le jetèrent donc, et ils ne pouvaient plus le retirer, à cause de la grande quantité de poissons. Une autre version de sa mort veut qu'il se soit fait.et recouvrir de terre par ses serviteurs, mais, lorsque ses disciples arrivèrent et voulurent le déterrer, il avait disparu. L’expression « le disciple que Jésus aimait » – ou une formulation proche – se répète plusieurs fois dans la deuxième moitié de l’Évangile, et semble être la manière que Jean a choisie pour parler de lui-même (voir Jean 13 : 23 ; 19 : 26).La description de ce qui s’est passé lorsqu’on a découvert que le corps de Jésus avait disparu se référait aussi au « disciple que Jésus aimait » : « Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sépulcre dès le matin, comme il faisait encore obscur ; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre. » (Jean 20 : 30‑31).Si on admet que l’Évangile de Jean a été écrit avant les trois lettres à son nom, et avant l’Apocalypse, le contenu des livres est cohérent.
» (Mal. De plus, il intègre des renseignements sur Jésus dans le cadre de la vie et de la loi des Hébreux ; son travail est organisé autour des jours saints et des fêtes de la vie juive.
Ils lui demandent alors : « Quoi donc ? » (1 Jean 2 : 1‑2).Les gnostiques ont enseigné qu’ils étaient au-dessus du péché de par leur adhésion à leur approche de Christ. Jean l'évangéliste est présenté avec un livre et un aigle. Il est né en l’an VI ap.J.C. La mort expiatoire de son fils, précise Jean, a rendu possible la création et la permanence d’une relation avec Dieu, grâce au châtiment infligé pour nos péchés et à leur rémission.Par cet argument, Jean ne cherche pas à encourager le péché, mais simplement à reconnaître que les hommes commettent effectivement des péchés même après leur conversion. Aussitôt, Il les appelle à Le suivre.
Jésus a donné à l’apôtre Jean, et à son frère Jacques, le nom de « fils du tonnerre » (en grec, boanerges). C’est ce disciple qui rend témoignage de ces choses, et qui les a écrites. Il nous isole de Dieu.